Gli ingegneri ed i partner italiani dell’EAC Sarl sono ben equipaggiati di strumenti di misura. Sono ben addestrati a misurare. Sono indipendenti dai costruttori di compressori. Sono determinati a lavorare per i vostri scopi rispettando i vostri criteri di ottimizzazione.
Alcuni dei fini di studio più comuni sono:
- Evitare o ridurre il consumo di aria compressa.
- Evitare o ridurre i rischi associati alla produzione, distribuzione o all’uso dell’aria compressa.
- Migliorare o creare installazioni di aria compressa che mantengano una pressione e una qualita sufficienti e stabili.
- Migliorare o creare indicatori di efficienza per la vostra stazione di aria compressa e per gli usi dell’aria compressa nella sua fabrica.
Non possiamo proporre in Italia tutto quello che ogni giorno facciamo in Francia, principalmente per la distanza, per la lingua e a volte forse anche per le differenze culturali.
Servizi utili alla Vostra Impresa possono certamente essere organizzati nel vostro Paese.
Potrebbe trattarsi di servizi quali:
- Formazione sull'Aria Compressa;
- Studi non strumentati degli usi dell’Aria Compressa;
- Formazione all’uso di Flowmeters
- Campagne di misure degli usi dell’Aria Compressa, della sua distribuzione e della sua produzione.
Se vorrete diventare un nostro partner in Italia, o consultarci, potrete contattarci in italiano:
François BOUTEILLE
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tel : +33 612 156 155
Retour d'expérience
- Agro-alimentaire
- Aluminium
- Cartonnage
- Cimenterie
- Groupes_diesels
- Pharmaceutique
- Secteur_hospitalier
- Tuberie
On mesure souvent le débit d’ammoniac sous forme liquide au moyen de débitmètres non intrusifs à ultrasons, mais dans cette installation particulières, de telles mesures auraient été trop globales.
Le Client ne souhaitait pas mesurer son besoin de froid, qu'il connaissait, mais vérifier les performances réelles de certains de ses compresseurs.
La mise en œuvre d’une microturbine à insertion constitue un moyen de mesure intrusif bien adapté à ce but particulier.
AIRPROFIL a montré la possibilité d’économiser plus de 1 MW de puissance électrique en évitant ou en réduisant d’importants débits d’air comprimé utilisés pour refroidir des réfractaires.
Pour le Directeur de ce site, l'économie d'énergie ne constituait pas l'enjeu le plus important, mais avec 1 MW de plus il pouvait fabriquer plus d'aluminium.
Sur cette photographie, plusieurs soufflettes sont en service continu et consomment environ 200 m3/h ou 20% du débit total d’air comprimé du site. Deux autres machines sont également équipées de soufflettes similaires quoique moins nombreuses.
Les consommations d’air comprimé de ce type sont assez aisément substituable par des solutions plus économiques en énergie et plus silencieuse. Sur ce site de cartonnages, ces soufflages de rognures représentaient environ 50% de la consommation totale d’air comprimé du site.A l'occasion de cette étude, nous avons pu vérifier à quel point il est important de "rentrer dans le process", sans prétendre en connaître tous les détails, mais en examinant un peu en détail ce que le Client fait vraiment avec son air comprimé!
Une étude instrumentée récente (2011) a été réalisée en Moldavie, sur un site produisant du ciment.
Cette étude est très caractéristique des possibilités d’économiser l’air comprimé dans les cimenteries :
Près de 1 MW de possibilité d’économie nette de puissance par mise en place de convoyeurs et d’élévateur mécanique à la place d’air comprimé à environ 5 à 6 bars relatifs.
AIRPROFIL a souvent mesuré sur de l’azote et sur des circuits d’eau pure de différentes qualité, y compris l’eau EPPI pour solutions injectables. En ce qui concerne l’air comprimé, les principales consommations sont souvent celles de broyeurs à jets d’air : la stabilité de la pression est importante pour la régularité de a granulométrie des poudres fabriquées.
Ces prestations mettent en œuvre des débitmètres non intrusifs à ultrasons. Ces mesures ne sont possibles que depuis 2011 sur les canalisations d’air médical ou d’oxygène de petit diamètre – souvent des tubes de cuivre de diamètre 12 ou 16 mm, d’épaisseur 1 mm. Avant, nous ne disposions pas de capteurs pour des canalisations de si petits diamètres.
Les mesures ont toujours été réalisées, dans les hôpitaux français, sur l’air médical ou l’oxygène détendus à 10 bars – un niveau de pression qui semble généralisé pour la distribution de ces fluides en France. Un retour d’expérience intéressant est que l’utilisation d’oxygène, sur les sites où nous sommes intervenus, est souvent très supérieure aux besoins : sur un bâtiment où nous avons mesuré 3 m3/h en continu, le débit est passé à moins de 0.5 m3/h de manière discontinue, pendant des phases d’ « hyperventilation » de 20 minutes.
Une grande partie de l’air comprimé est utilisé pour refroidir ou protéger des caméras, et une importante réduction des consommations est parfaitement envisageable. D’après notre Client, la prestation d'"Audit des Usages" ne fait l’objet d’aucune offre commerciale en Allemagne en 2012 – à l’exception (modeste) d’Airprofil !
AIRPROFIL
BILLET D’HUMEUR DE SEPTEMBRE 2013 :
REFLEXIONS D’UN CHASSEUR DE FUITES
Beaucoup de Clients sont surpris quand nous nous proposons de chercher les fuites d’air comprimé d’une usine immense – par exemple 70 000 mètres carrés d’ateliers « remplis comme un œuf » en 3 jours !
Certes, la mise en œuvre d’un détecteur d’ultrasons fait gagner du temps – et permet de passer rapidement là où il n’y a pas d’ultrasons. Mais curieusement, nous mettons aujourd’hui plus de temps qu’il y a 10 ans pour parcourir certaines usines où nous passons chaque année. Pourquoi un tel allongement des délais alors que nous sommes censés progresser chaque année en productivité et alors que l’apprentissage devrait, au contraire, nous permettre d’aller de plus en plus vite d’année en année ?
Une explication serait que nous vieillissons. Mais nos jeunes Ingénieurs ne vont guère plus vite que les vieux. Ils sont seulement en un peu meilleure forme à la fin de la journée ! Une autre explication serait que les usines ont grandit ou se sont remplies de nouvelles machines. C’est souvent vrai : l’industrie se concentre.
La vraie explication, nous semble-t-il, tient à l’évolution des règles de sécurité, en particulier en France. Au fil des années, des barrières jaunes sont apparues autour des machines. Même quand les machines sont à l’arrêt, il faut parfois marcher 100 mètres pour aller d’une machine à la machine voisine. C’est un peu comme pour les vendanges : couper du raisin est à la portée de n’importe qui. Ce qui est fatiguant, surtout quand il fait chaud et que les champs sont grands, c’est de porter son panier jusqu’au chemin pour le vider ! Et donc, nous marchons ! Les médecins ne recommandent-ils pas de marcher au moins une demi-heure par jour ?
Séparé du bruit du monde extérieur, dont il n’entend que la signature ultrasonique, le Chasseur de fuites a tout le temps d’admirer la beauté des paysages industriels qu’il traverse en tous sens. Après 7 heures de marche, il enlève son casque audio « heavy duty » et entends avec un vif plaisir le merveilleux bruit des machines dont il s’éloigne !
